Pour
te consoler de tes peines,
Et
alléger ton chagrin,
Pour
lire et relire tes poèmes
S’il
n’en restait qu’un,
Pour
comprendre ta mélancolie,
Pour
que tu oublies ton cafard,
Et
te conduire dans un jardin,
Où
j'aimerais te planter,
Toute
la verdure que tu pourrais désirer,
Des
fleurs, du bonheur, et beaucoup d'amour,
Pour
que plus jamais tu ne pleures,
Et
si quand même tu pleurais seule,
Regarde
toujours vers moi,
Ne
me quitte pas des yeux,
Je
veillerai sur toi,
S’il
n’en restait qu’un,
Qui
t’écrive, qui ne voit que toi,
S’il
n’en restait qu’un,
Je
serai celui-là.
©
Eric HIEL
12
12 2012
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