Sensualitextes


Suis moi...

Dès le DÉBUT, elle su qu'elle serait à lui...

Il sortait des toilettes quand elle y pénétra. Ils se bousculèrent un peu, s'excusèrent, leur regards se croisèrent, leurs mains se touchèrent.
Il l'aida à ramasser son sac et son fatras éparpillé sur le sol. En se relevant elle senti son odeur... Il sentait bon, un mélange de MENTHE poivrée et de FRIANDISES.

Elle passa la main dans ses cheveux, son CHIGNON à moitié défait, elle tira l'épingle et comme une avalanche sensuelle, sa chevelure dévala sur ses épaules.
Il la fixait sans mots dire . Elle lu du désir dans son regard.

Je vous offre un CAFÉ lui dit-il ! Sortons d'ici, ça sent la MACÉRATION de vieilles pisses et de je ne sais que d'autres, et franchement, je ne préfère pas le savoir, ajouta t-il en souriant.

Il la précéda, elle le suivi. Ils s'installèrent à une table près de l'entrée, de là, ils pourraient observer les passants qui dans la rue se pressaient.

Il parlait, beaucoup, elle l'écoutait songeuse et fascinée.

Elle avait besoin de CHANGEMENT...

HARMONIE, lui dit-elle, je m'appelle Harmonie. Et vous, quel est votre prénom ?

La NUIT tombait, dehors la pluie redoublait, des torrents d''eau se déversaient dans les rigoles de DÉVERSEMENT des égouts.

Il ne répondit pas de suite, mais continuait à la dévisager.

Enfin, il ouvrit la BOUCHE. Est-ce important, lui répondit-il ?
Ils commandèrent un repas, prirent la FORMULE "CRÉATION du chef.

Terminé, il régla l'addition. Je vous raccompagne, dit-il, Elle opinât du chef.
Il prirent un taxi, celui-ci empestait l'ONGUENT, vous voyez, cette espèce de crème que l'on met sur la poitrine des enfants quand ils sont enrhumés.

Arrivés devant chez elle, il sortit du véhicule, fit le tour, et lui tint la portière. Le taxi redémarra.

Il l'accompagna jusqu'au pas de la porte, elle ouvrit, se retourna, lui prit les mains, voulu ouvrir la bouche, pour, le remercier et lui souhaiter la bonne nuit.

Il la colla au mur, ivre de désir, elle se laissa faire, quand il colla sa bouche contre la sienne et lui rendit son baiser.
Il la serra plus fort, elle se colla plus fort. Elle pouvait le sentir maintenant, Il la voulait, elle le sentait raide, contre le bas de son ventre.
Son souffle court, son PÉNIS turgescent, ne laissait plus aucun doute, sur la suite de la soirée...

Elle se décolla, lui attrapa la main, viens, suis moi lui dit-elle...

© Eric HIEL
13 09 2013

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