En moi se trouve un cœur,
Qui ne cesse de battre et d'écrire,
Je sais que tu es là pour moi,
Il espère, car il sent que tu vis en lui,
Ce cœur ne cesse de dire,
Qu'il t'aime même sans te voir, même les yeux fermés,
Ton parfum l'entoure et l'envahit,
Il sait que tu es là et que tu es à lui,
Les jours de solitude défilent mais au fond tu es présente,
Je sais que tu es là et que peut-être tu me lis,
Saches que tu n'es pas seule,
Entends-tu mon cœur battre pour toi,
Et oui, je l'avoue sans aucun doute,
Je t'aime et cela est tellement fort,
Je ne t'aime pas seulement, je t'adore,
En ce moment tu parles en moi,
Et j'écoute le son de ta voix,
Laisse-moi te redire le contenu de mes pensées,
Tu étais faites pour m'aimer et moi pour t'aimer...
© Eric HIEL
16 12 2012
vendredi 31 mai 2013
Donner jusqu'à s'oublier
Aimer
c'est s'oublier,
Donner
sans attendre en échange,
Ou
si peu,
Aimer
c'est perdre la raison,
Donner
comme si la vie en dépendait,
Se
brûler les ailes,
Sans
se soucier des conséquences.
Aimer,
à en perdre la parole,
Ne
tenir compte de ses désirs,
Jusqu'à
même se priver,
Pour
l'être aimé.
Aimer,
quand la distance nous sépare,
Ce
mal de l'absence,
Qui
tord les tripes,
Qui
fait mal au cœur,
Quasi
Jusqu'à
la démence.
Aimer,
quand ont tremble de peur,
A
chaque instant,
La
crainte de tout perdre,
Comme
un rêve qui deviendrais cauchemar.
Tout
donner,
Y
croire tellement fort,
Déraisonnablement,
passionnément,
S'oublier,
ne penser qu'au bonheur de l'autre,
Ne
respirer que par elle...
©
Eric HIEL
06
01 2013
mercredi 29 mai 2013
Coup de foudre...
Met
le feu à la poudre,
Attraction
provoquée,
Stupéfaction
générée,
État
amoureux,
État
si savoureux
Inattendu
écho,
Stupéfaction,
trémolo,
Phénomène
unique,
Du
coeur, la musique,
Battante,
fantastique,
Frappant
coup de tonnerre,
Énorme,
tremblement de terre,
Incontrôlable,
comme le vent,
Effrayant,
éclatant, vibrant,
Fulgurant,
comme l'éclair,
Inexplicable,
inexpliqué,
Coup
de foudre, fébrilité,
Tempête,
pensées, orage,
Dans
la tête, des images,
Amour,
attirance, passion
Incroyable
et violente déraison,
Du
silence total,
D'une
vie dite normale,
Se
passe l'imprévu,
Pas
pris, pas vu,
Premier
regard,
Frappé,
air hagard,
Le
coeur s'emballe,
Dans
les yeux, des étoiles,
Feu
qui dévore,
Encore
et encore,
j'en
veux, sentir le feu,
A
l'intérieur, brûler en moi,
De
l'émotion, Jouer le jeu,
Provoquant
le magique émoi,
Devenant
en moi,
Ma
force et ma loi...
©
Eric HIEL
29
O5 2013
La nuit
Trois
heures du matin,
Il est
tard, mais il n'a pas envie de dormir,
Il pense
à elle,
Il n'a
qu'une envie, se retrouver à deux,
Ils sont
liés, mais sans être ensemble,
Leurs
solitudes se ressemblent,
Rêvant
par l'intermédiaire de chansons,
Leurs
deux cœurs en harmonie,
Ils
s'échangent des mots qui font vibrer,
Presque
à s'entendre parler,
Casser
le moniteur, la solution ?
Pour se
prendre par la main,
Pour
déposer les sentiments,
D'un
amour si grand,
Qui, né
derrière un écran
D'où
ils s'écrivaient,
Et par
sms où ils s'embrassaient,
Un amour
comme jailli de nulle part,
Mais une
distance qui use,
Il
voudrait bien la toucher,
Il
voudrait bien, pour s'aimer,
Arracher
au temps le désir et l'envie,
une
douce envie de renouveau,
Il veut
sa peau le reste de sa vie,
Que
leurs soufflent qui s'attirent,
Invisibles,
s'unissent, s'aspirent,
Le
manque l'enveloppe,
Comme la
nuit,
Le
sommeil le gagne,
Épuisé,
il l'a laisse entrer dans son esprit,
Il
s'endort des rêves plein la tête,
Est-il
sur le bon chemin ?
Marcheront-ils
main dans la main ?
Personne
ne sait...
On verra
demain...
©
Eric HIEL
27 05
2013
dimanche 26 mai 2013
Dans tes bras
Dans
tes bras, me serrant en amoureux,
Comme
dans un rêve, je ferme les yeux,
Des
serments de ta chaleur apparaissant,
Nos
deux corps qui s'attirent comme des aimants,
Respirer
le doux parfum de ton odeur connue,
Entre
la douceur de tes seins,
Douce,
tendre, comme émue,
Gémissant
tout en frottant le bas des reins,
Sentir
le battement sourd de ton cœur,
Vibrant
et inondée de bonheur,
Entendre
ta voix au creux de mon oreille,
Envahit
de sentiments comme nul pareil,
Je
serai ta couverture quand tu auras froid,
Veillerai
sur ton sommeil, veillerai sur toi,
Attendrai
le bon moment, et tes envies, les découvrir,
Même
quand dans mon corps montent des ondes de désir,
Je
deviendrai laboureur de ton champ fertile,
Semant
le désir et l'espoir, à ton pistil,
Abreuverai
tes prairies d'une pluie pour la verdir,
Et
que tes pétales empourprés goûtent au plaisir.
©
Eric HIEL
01
05 2012
Je serai celui-là...
Pour
te consoler de tes peines,
Et
alléger ton chagrin,
Pour
lire et relire tes poèmes
S’il
n’en restait qu’un,
Pour
comprendre ta mélancolie,
Pour
que tu oublies ton cafard,
Et
te conduire dans un jardin,
Où
j'aimerais te planter,
Toute
la verdure que tu pourrais désirer,
Des
fleurs, du bonheur, et beaucoup d'amour,
Pour
que plus jamais tu ne pleures,
Et
si quand même tu pleurais seule,
Regarde
toujours vers moi,
Ne
me quitte pas des yeux,
Je
veillerai sur toi,
S’il
n’en restait qu’un,
Qui
t’écrive, qui ne voit que toi,
S’il
n’en restait qu’un,
Je
serai celui-là.
©
Eric HIEL
12
12 2012
vendredi 24 mai 2013
Vague de chaleur
L'oreille collée à ton épaule,
A cet endroit si doux,
Ton parfum, l'odeur sucrée de ta peau,
La respirer, me saouler,
De l'essence de ton corps,
Du bout des doigts,
Caresser ta peau,
La mordiller, la pétrir,
En douceur,
Sentir la douce chaleur,
Qui monte, qui nous inonde,
Peau contre peau,
Douces et caressantes,
Nos corps ne faisant plus qu'un,
Ton regard, tes yeux,
Que j'aime tant... les croiser,
Savourer ces instants,
Tes mains, douces et caressantes,
Qui m'explorent tendrement ,
Lentement, sensuellement,
Tes doigts qui glissent,
Qui cherchent, pour trouver,
Cet endroit chaud,
Que tu aimerais atteindre,
La peau, parcourue de frissons,
Ta voix légèrement enrouée, par le
désir,
Soupirs de contentement,
A l'écoutes des petits mots secrets,
Glissé au creux de ton oreille,
Ma langue, glissant dans ton cou,
Me perdre sur ton épaule,
Parcourir ta poitrine,
Descendre,
Là où cela devient plus doux,
Ton corps, comme un sentier escarpé,
Je l'arpente, pour en découvrir,
Tous les recoins cachés,
Laissant partout des traînées
humides,
Toi les mains rivées aux draps,
Ondulante et vibrante,
Sous mes attaques répétées,
Soulevant ton corps,
Emportée par le torrent,
Du plaisir qui te submerge,
T’effondrant dans un grand cri
rauque,
Apaisée et soulagée,
Et que finalement,
Nous nous rejoignons,
Dans nos souffles mélangés,
Nos deux corps soudés,
Engloutis par cette vague,
Violente et chaude...
©
Eric HIEL
23
05 2013
L'école de la vie
L'école
de la vie, j'y suis entré dès l'enfance, oui… comme tout un
chacun allez-vous me dire...
On
y entre un jour, on ne vous demande pas votre avis d'ailleurs, pas de
choix possible.
A
bientôt cinquante ans, j'y suis toujours. Année après année, on
y apprend tous les jours.
Les
leçons se suivent et se ressemblent, quoique parfois de nouvelles
viennent s'ajouter, parfois faciles à comprendre, et d'autres fois
durent et difficiles à encaisser?
Celle-ci,
jalonnée de joies, de peines, de déception, de colères, on ne peut
y échapper. Pas de choix dans les matières, elles sont toutes
obligatoires, imposées!
On
enchaine les cours, on change de classe pour chaque matière, un
professeur différent à chaque fois. Certains sont bons et vous
transmettent leur savoir, leur passion, les autres déballent leur
cours comme on dit la messe, sans conviction, sans passion!
Les
amitiés qui pourraient être comparées à la cour de récréation,
endroit symbolique, où les confidences et les révélations
s'échangent, où les galères s'étalent, les conseils sont donnés,
les larmes sont séchées par des mots, des gestes.
Amitiés,
celles qui durent toute une vie ou qui parfois se perdent dans
l'oubli des années qui passent. On ne sait pas toujours comment
elles se font, ni comment elles se défont… Mais bon…
La
famille, elle me fait plus penser à la sortie d'école, vous savez,
c'est là que l'on règle ses comptes, ou que l'on se tape sur la
tronche. Suite à ça, parfois, une entente se fait et les choses
vont mieux, mais souvent, on reste bloqué, amer, quand il n'y a pas
de solution, ou que l'autre ne veut rien entendre! On ne choisit pas
sa famille et c'est bien dommage…
Tout
s'apprend à l'école de la vie, mais mes cours préférés étaient
et sont toujours, les cours d'amour, de tendresse, de compréhension,
de tolérance, de partage, d'amitié…
J'ai
retenu des leçons, oui… Mais pas toutes… On a beau apprendre,
subir, répéter et malgré cela on refait toujours les mêmes
erreurs!
A
l'école de la vie, je n'ai pas bien appris mes leçons... Je me suis perdu, mais je
continue d'étudier et de m'interroger pour éviter de rater les
prochaines épreuves qui me seront soumises!
©
Eric HIEL
20
01 2013
mardi 21 mai 2013
J'écris, donc j'existe...
Me vider les pensées,
Remplir des pages blanches,
Des quantités de pages blanches,
Sortir de ma plume,
Mes états d'âmes,
Mes joies, mes peines,
De l'encre de ma vie,
Au gré de mes envies,
Tout ces sentiments,
Qui m'animent,
Les étaler sur papier,
Les partager,
Tout se mélange parfois,
Passé, présent, futur,
Mais là n'est pas l'essentiel,
Écrire est ma raison d'être,
Ma raison d'exister,
Entre autre...,
Une évasion, un exutoire,
Une échappatoire,
Façon de conjurer, d’exorciser,
Du passé les vieux démons,
Différents sont nos chemins,
Mais des choses à partager,
Tous nous en avons,
Des mots,
De bleus à l'âme,
De souvenirs,
De larmes,
De sourires,
Des mots qui attisent,
Certains qui apaisent,
Parfois attirant,
D'autres fois ravivant,
Les flammes d'un brasier,
Que je croyais éteint,
A tout jamais,
Ma poésie, mes écrits
Tout ces mots,
Mes pensées,
je m'en libère,
Et, vous les offres...
©
Eric HIEL
20
05 2013
dimanche 19 mai 2013
Dire je t'aime
Il sait...
Je
sais parfaitement que je n'ai jamais aimé comme je l'ai aimé et que
je n'ai jamais été aimé si fort par une autre qu'elle.
Qu'elle
a été mon plus grand amour et que rien ne pourra y changer.
Mais
"elle" m'a laissé tomber comme une chose inutile et
encombrante.
Elle
ne m'a jamais écrit la moindre chose pour me dire de me relever.
Ne
m'a jamais avoué qu'elle n'était pas si bien que cela.
Que
je me trompais.
Que
je valais mieux qu'elle.
Ou
même qu'elle avait fait la plus grosse erreur de sa vie et qu'elle
l'avait regretté en secret.
©
Eric Hiel
24
11 2012
jeudi 16 mai 2013
Il était une fois...
Où
vais-je ?
Personne
ne sais,
Vais-je
y arriver ?
Personne
ne peut le deviner,
Comment
en suis-je arrivé là ?
Qui peut
savoir,
C'était
juste une histoire,
Un peu
noire,
Une page
du passé est tournée,
J'ai
fais une croix sur le calendrier,
Sur ce
passé qui a fait bien des ravages,
Aujourd'hui,
je vogue vers d'autres rivages,
Sur
d'autres chemins, je m'engage,
Vers
d'autres routes à découvrir,
Je ne
sais pas,
De quoi
sera fait l'avenir,
Mais
pour rien au monde,
Ne
reviendrais en arrière,
A
présent, courage et volonté,
Sont les
armes, dont je n’imprègne,
Nouveau
regard vers une destinée,
Mes
vieux espoirs éphémères,
Emporté
par les vents,
Laissent
place,
A mon
espoir naissant,
Un
second souffle,
Une
renaissance,
J'avance,
je n'ai plus peur,
La
confiance revient,
Je
redeviens moi,
Le vrai
bonheur,
C'est
peut-être ça,
Des
douleurs du passé,
On en a
tous,
Mais un
jour,
Il faut
pouvoir clore un chapitre,
Fermer
enfin ce livre,
En
ouvrir un autre,
D'un
regard nouveau,
Lire une
autre histoire,
Et enfin
voir le monde,
Sous un
jour nouveau...
©
Eric HIEL
16 05
2013
mercredi 15 mai 2013
Crépuscule
A l'aube de ma vie,
Encore Je veux rêver,
Me sentir aimé,
désiré,
Hurler mes envies,
Aussi fort que je vis,
Dérouler mes ailes,
M'envoler très haut,
M'évader,
Dans un monde à moi,
La tête emplie,
D'idées nouvelles,
Naviguer vers le
soleil,
Éviter les orages,
Me poser, ne serait-ce,
Qu'un instant,
Sur mes rêves,
Sur le fil de mes mots,
Fatigué d'avoir trop
pensé,
Fatigué de toutes ces
batailles,
Perdues ou pas
commencées,
Aujourd'hui épris de
liberté,
M'évader de cette
réalité,
Si seulement, je
trouvais un refuge,
Un océan de tendresse,
Dans une immensité
douce et secrète,
D'un coeur, soulageant
ma tristesse,
Il ne reste à mes
mots,
Qu'à trouver leur
écho,
Qu'à donner ma plume,
A celle, s'il y en a
une,
Qui à travers moi,
Deviendrait mon tout,
Et qu'on se rejoigne,
Condamnés,
Dans un coin de paradis
Pour y vivre,
Tous nos rêves
interdits...
©
Eric HIEL
15 05 2013
Lettre à l'absente
J'aurais aimé pouvoir te dire,
Ces mots que tu ne voulais pas entendre,
Que tu ne pouvais pas entendre,
Chez nous, ça ne se faisait pas,
Je voulais le faire, j'ai essayé,
Et ce... malgré la vie que tu nous à fais subir,
Entre tes fuites et tes absences,
Ta froideur, tes préférences,
J'ai vécu tout ce temps,
Sur la corde raide, près à tomber,
Il m'a fallut des années,
Pour trouver un équilibre,
Je n'ai jamais compris,
Mais j'ai fini par accepter,
Le manque, ce putain de manque,
J'ai fini par toucher le fond tu sais,
J'ai tout perdu,
J'ai failli ne jamais remonter,
Et une fois de plus,
Tu n'étais pas là,
Tu n'as jamais été là en fait,
Mais peut-être était-ce mon salut,
Pour qu'un changement s'opère,
Pour qu'enfin change ma vie,
Qu'enfin de nouvelles portes s'ouvrent,
Ma part de bonheur, je pense y avoir droit, non...
Il y a peu... lors de mon dernier déménagement,
J'ai retrouvé une photo de toi,
Tu étais belle,
Brune, le teint légèrement hâlé toute l'année,
De jolis yeux gris-vert,
Dont j'ai hérités d'ailleurs,
Tu plaisais aux hommes,
J'ai vu leurs regards sur toi,
Et toi, tu en jouais,
Charmante et charmeuse,
J'aimais te regarder,
J'aimais ta voix chantante,
Avec ce léger petit accent slave,
Tu sais, j'ai deux garçons,
Le plus petit, Hugo, a nos yeux,
Thomas le grand a plutôt ceux de sa mère,
Tu ne les connaîtras jamais,
Et ça ne changerait rien je pense,
Être grand-mère, qu'elle horreur,
N'est-ce-pas...
Tu n'es plus là,
Depuis bientôt deux ans,
Encore une fois tu m'as laissé,
Définitivement cette fois,
Sans prévenir, sans laisser d'adresse,
Maintenant tu ne fais plus partie, de ma vie,
Mais ce poids du passé,
Je le porte encore tout les jours,
Et malgré tout cela,
Je veux que tu saches,
Je t'aimais, maman...
© Eric HIEL
06 04 2012
Ces mots que tu ne voulais pas entendre,
Que tu ne pouvais pas entendre,
Chez nous, ça ne se faisait pas,
Je voulais le faire, j'ai essayé,
Et ce... malgré la vie que tu nous à fais subir,
Entre tes fuites et tes absences,
Ta froideur, tes préférences,
J'ai vécu tout ce temps,
Sur la corde raide, près à tomber,
Il m'a fallut des années,
Pour trouver un équilibre,
Je n'ai jamais compris,
Mais j'ai fini par accepter,
Le manque, ce putain de manque,
J'ai fini par toucher le fond tu sais,
J'ai tout perdu,
J'ai failli ne jamais remonter,
Et une fois de plus,
Tu n'étais pas là,
Tu n'as jamais été là en fait,
Mais peut-être était-ce mon salut,
Pour qu'un changement s'opère,
Pour qu'enfin change ma vie,
Qu'enfin de nouvelles portes s'ouvrent,
Ma part de bonheur, je pense y avoir droit, non...
Il y a peu... lors de mon dernier déménagement,
J'ai retrouvé une photo de toi,
Tu étais belle,
Brune, le teint légèrement hâlé toute l'année,
De jolis yeux gris-vert,
Dont j'ai hérités d'ailleurs,
Tu plaisais aux hommes,
J'ai vu leurs regards sur toi,
Et toi, tu en jouais,
Charmante et charmeuse,
J'aimais te regarder,
J'aimais ta voix chantante,
Avec ce léger petit accent slave,
Tu sais, j'ai deux garçons,
Le plus petit, Hugo, a nos yeux,
Thomas le grand a plutôt ceux de sa mère,
Tu ne les connaîtras jamais,
Et ça ne changerait rien je pense,
Être grand-mère, qu'elle horreur,
N'est-ce-pas...
Tu n'es plus là,
Depuis bientôt deux ans,
Encore une fois tu m'as laissé,
Définitivement cette fois,
Sans prévenir, sans laisser d'adresse,
Maintenant tu ne fais plus partie, de ma vie,
Mais ce poids du passé,
Je le porte encore tout les jours,
Et malgré tout cela,
Je veux que tu saches,
Je t'aimais, maman...
© Eric HIEL
06 04 2012
A moi maintenant
Pas de caresse du
soleil,
Pour couvrir mon
visage,
Pas de lumière,
Immensité du silence,
Je me suis promis,
De ne pas pleurer,
Je te cherche des yeux,
Encore brouillés par
la nuit,
Cette page, au départ
blanche,
Porte le fond de mes
pensées,
Et à l'encre de mes
maux,
Je t’écris ces
quelques mots,
Des mots, forts, noirs,
Affamés d'espace, mais
sincères,
Je te les offres, ils
sont pour toi,
Souvenirs d'hier,
Où une bourrasque,
A dispersé de si jolis
serments,
De tout ces moments,
Où je ne pense qu'à
toi,
Où sur mon corps,
Un souffle léger,
Est venu déposer un
espoir,
Venu de ces mots,
Sortis de sous ta
plume,
Et qui sonnaient si
beaux,
A moi maintenant,
Écoute...
Je t'aime...
©
Eric HIEL
12 05 2013
Émotions
Quelques mots,
Quelques musiques,
Autant de photos,
Messages subliminaux,
Émotions, sensations,
Que lui arrive t-il ?
Bouleversé, secoué,
Par tant de beauté,
Par des mots prononcés,
Délicates confidences,
Immédiate complicité,
Leurs âmes en
résonances,
Se seraient t-elles
reconnues... ?
Fort coup de vent,
Balayés les maux du
cœur,
Imaginaire en route,
Vers de nouvelles
contrées,
Laisser aller toutes
ses pensées
L'amour guideras ses
pas,
Encore et encore,
S'abandonner dans ses
écrits,
Lui donner cet air,
Qui nourrira son corps,
Qui nourrira sa vie,
Laisser son esprit
s'envoler,
Fermer les yeux,
Même de loin,
Sentir son parfum,
Le garder au secret,
Se libérer enfin,
Se libérer sans fin...
©
Eric HIEL
10 05 2013
vendredi 10 mai 2013
Jeux de séduction
Lorsqu'il l'entrevoit,
Il sourit, l'envie le
gagne,
Par les mots,
prononcés,
De sa douce voix,
De désirs, il frémit,
Les silences,
Les regards croisés,
Sans rien dire,
Ils se sont compris,
Éclatent des notes,
S'envolant en éclats
de rire,
Narquois, fripons,
Jeux de séduction,
Esprits en adéquations,
A petits pas,
Mots pétillants, mots
d'esprit,
Deviennent lois,
Fantasme deviennent,
Dont de soi,
Elle le veut,
Pareil pour lui,
L'un à l'autre,
Ils se donnent,
Souffles courts,
La fièvre les envahit,
Deux corps enchevêtrés,
L'un dans l'autre,
Plus rien n'est
interdit...
©
Eric HIEL
09 05 2013
Secret... de toi à moi...
Ce soir
tu me manques,
Comme
hier, comme demain,
De toi à
moi,
Tu
sais ?
Non, tu
ne sais pas,
En fait,
Je
t'aime déjà,
Depuis
le début,
Ou je
t'ai connu,
Mais ne
te le dirai pas,
Pourquoi ?
Timidité,
Pudeur,
Non,
même pas,
Juste,
J'ai
peur,
J’ai
peur, d’arrêter d’y croire,
J'ai
mangé tu vois,
J'en ai
pris des claques,
Tu le
sais,
Tu me
lis jour après jour,
Tu
commentes,
Je
commentes,
Mes
écrits,
Pour la
plupart,
C'est
mon histoire,
Je
t'aime,
Je ne le
dirai plus,
Pourquoi
toujours
Dois-je
faire le premier pas,
C'est
ton tour,
Cette
fois,
Au
fait...
Je te
l'ai déjà dit,
Souvent,
entre les lignes,
Mais tu
ne m'entends pas,
Tu n'y
crois pas,
Ou tu
n'en veux pas,
Ton
avenir,
En faire
partie,
Oui, je
voudrais,
Et toi,
veux tu ?
Parle
moi,
Ne
m'oublie pas...
T'es-tu
reconnue... ?
© Eric
HIEL
08 05
2013
mercredi 8 mai 2013
A genoux devant toi...
Voilà comme je suis,
Chaque son, chaque
parole,
Sonnant comme ton
prénom,
En moi,
Provoquent un émoi ,
Chair de poule,
frissons,
Diapason de mon âme,
Liée à la tienne,
Dans mes veines,
Tu circules,
Dans mon esprit,
Tu te balades,
A ta seule évocation,
Mon coeur,
Bat la chamade,
Oubliés les tourments,
Oubliées les peines,
Tant de choses tu
m'inspires,
Tu es l'air que je
respire,
Appel des sens,
Du fond de ma
conscience,
Ce coeur affecté,
Enfin se guéri,
Par tant d'amour donné,
La chair frissonnante,
De tant de désir,
Feu ardent,
De ma bouche
Te savourant,
Ivre de toi,
Ivre de nous,
De mon ardeur,
A t'aimer,
Pour l'avenir,
Je serai tien,
A l'avenir,
Tu seras mienne,
Nous ne ferons plus
qu'un,
T'aimer, à genoux,
T'aimer comme un fou...
©
Eric HIEL
07 05 2013
Un matin
A contre temps,
Douce envie de toi,
En ce matin
scintillant,
Je te cherche des yeux,
Contre moi, tout contre
moi,
Toi et ton regard
couleur d'ambre,
C'est ta peau que je
veux,
Dans cette chambre,
Éclairée de nos
tendres aveux,
En toucher toutes les
parcelles,
Le désir vivant de
cette nuit,
Éclaire mes yeux
d'étincelles,
Tout au long de notre
vie,
Que nos deux fièvres,
s'assemblent,
Hors du temps,
De nos corps qui
s'étreignent,
S'attirent, comme des
aimants,
Garder l'envie et le
désir,
Que la flamme jamais ne
s'éteigne,
Tendres jeux interdits
et soupirs,
Dans nos souffles, qui
s'aspirent
A Vivre et s'aimer
éternellement...
©
Eric HIEL
06 05 2013
vendredi 3 mai 2013
Songe d'une nuit
Dans mes songes,
C'est ton corps,
Que je vois dénudé,
C'est ta bouche,
Que je rêve
d'explorer,
De dévorer tes lèvres,
Dont le goût, je
connais,
De mes mains,
Qui se font caresses,
Sur ta peau lisse et
douce,
De ton souffle sur moi,
Chaud comme un volcan,
De ton ventre qui
palpite,
Quand mes doigts
fouillent,
L'écrin de tes désirs,
La fièvre monte,
Lors que le fantasme,
Plus Impérieux se
fait,
Vision de nos corps,
Qui d'envie crèvent,
De se posséder,
Le regard fou,
De te voir si belle,
Des frissons extrêmes,
Parcourant ta chair,
Au final suprême,
De nos ébats,
Ivre de toi,
De l'offrande de ce
plaisir,
Pour finir,
Dans nos bras serrés,
Nous laissant pantois.
©
Eric HIEL
02 05 2013
jeudi 2 mai 2013
Tenter d'aimer...
Pour
apprendre à m'abandonner,
Tenter
et aimer parce c'est mon droit, ma liberté,
Oser
aimer par la magie de ta tendresse,
Pour
adoucir la peine de mon cœur,
Sans
retenue, sans armure,
Oser
aimer toujours plus fort, toujours plus loin,
Bien
au-delà des apparences,
Et
des clichés fabriqués,
Par
mon imagination et mes craintes,
Oser
aimer malgré la déchirure de la séparation,
Pour
voir un jour le bonheur futur,
Pour
l'éternité de mes souvenirs,
Oser
aimer pour que tu accepte d'ouvrir mon trésor,
Et
de m'enrichir avec le tien,
Aimer
gratuitement, sincèrement, fidèlement,
Parce
qu'auprès de toi,
Je
me sens meilleur.
©
Eric HIEL
14
11 2012
mercredi 1 mai 2013
Le temps d'aimer
J'aimerais pouvoir,
Arrêter le temps,
Briser les horloges,
Au temps éternel,
T'emmener,
Avoir plus de temps,
Pour t'aimer,
Tout ce temps perdu,
Le rattraper,
Faire étinceler,
Dans tes yeux si beaux,
Des étoiles par
milliers,
Hors du ciel,
Bouter les nuages,
Pour que ta vie,
Ne soit plus que
soleil,
Je voudrais du temps,
Pour autour de toi,
Semer des jardins
d'allégresse,
Si j'étais le temps,
Je n'existerais pas,
Et toujours dureraient,
Nos tendres moments...
©
Eric HIEL
30 04 2013
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