lundi 29 avril 2013

Je me laisse guider par mes désirs...


Je me laisse guider par mes désirs,
Se retrouver, se câliner, s'offrir,
Sans pensée, se toucher, mêler nos gestes,
Se laisser entraîner, sombrer dans la faiblesse,
Un toi et moi qui s'unissent, qui se confondent,
Te sentir vibrer, te posséder, dans la pénombre,
Nos corps nus, enlacés, s'aimer,
Tout oublier de la vie, vouloir recommencer,
Mon corps se courbe sous tes mains pleines d'adresses,
Mon cœur s'emballe sous tes caresses,
Laissons-nous emporter par la passion,
Par cet amour aussi profond,
Au creux de tes reins tu me reçois,
Se donner, en rester sans voix,
Puis recommencer et vivre,
Un grand, amour, un amour libre.


© Eric HIEL
21 06 2012

samedi 27 avril 2013

Ni serments, ni promesses...


Ni serments, ni promesses,
Il ne lui demande rien,
Suffit qu'elle l'aime,
C'est beaucoup déjà,
Sortie de nulle part,
Dans son coeur,
Elle est, désormais,
Des promesses,
Lui en a faites,
Patience, tendresse,
Fidélité, amour...
A elle seule, se donnera,
Au fil des jours,
Jusqu'à trépas,
Jamais ne trébuchera,
Il a trouvé le chemin,
Où son coeur,
Mènera ses pas,
A l'appel de ses bras,
Il ne résistera,
Les deux hirondelles,
En temps et en heure,
Trouveront un toit,
Où vivre leur bonheur,
A tout petits pas,
Que vive leur amour,
Lors que s'en vient le soir,
Espérant des toujours,
A l'abri des regards,
L'un à l'autre s'abandonneront!


© Eric HIEL
27 04 2013

De mes yeux...





Délice à mon regard,
A mes pupilles aiguisées,
Des yeux la dévorer,
A la voir si délicieuse,
Mais blême juste,
De ne la voir bouger,

Capter son attention,
Qu'elle m'ouvre sa féminité,
Des songes qu'elle fait les soirs,
Les cheveux détachés,

Et sur sa peau ivoire,
Où l'amour est générosité,
Écrire la plus jolie histoire,
Un roman passionné.

© Eric HIEL
26 04 2013

Printemps



Suivant des jours un peu fous,
Enfin tu nous délivres tes couleurs,
Couleurs de fleurs désengourdies,
Dansant la valse du renouveau,
Offrant à tous de leur cœur, les pétales.

En plein centre d'un square,
Où l'amour, Gagne son bonheur,
Rien ni personne,
Ne pourrait augurer,
Les plaisirs dégagés,
De ces douces et odorantes senteurs,
Sinon de la terre et de toutes ses beautés,
Par la nature, avec soin partagées.

Variées et si belles,
Naturellement cultivées,
Au doux soleil de printemps,
Naissent forsythias, Tulipes,
Clématites, Myosotis,
Et autres Anémones,
Parfois caressées par l'ombre,
D'une anonyme et banale maison,
Qui sous les pinceaux de l'artiste,
Donnerait un fabuleux paysages.

Qu'ils vous faut toujours croire,
Que le printemps nous rappelle,
Les effluves de la vie,
Dessinant dans les coeurs aimant,
Le réveil d'un espoir,
Qu'un regard peut nourrir,
La petite fleur,
Et par cette alliance,
Nous donneras son plus doux,
Et son plus précieux miel.


© Eric HIEL
25 04 2013

Rumeurs, commérages…


Les silences, quand on entre quelque part,
Les mots cachés, les non dit,
Rumeurs, commérages,
Fléaux de notre époque,
Fausseté, inventions,
Paroles acerbes, mots déplacés,
Empoisonnants les relations entre les gens.

Parcelles de vérité détournée,
Mais tellement pernicieuses,
Coup de bec,
A ce que nous n'aimons pas,
Offrant un certain soulagement,
A nos émotions.

Arrogance de celui qui lance la rumeur,
La tête lui tourne,
De l'attention qu'on lui accorde,
Personnage nuisible,
Prenant ses désirs pour des réalités.

Les préjugés, terrains fertiles,
Pour prêcher le vrai et le faux,
Pour organiser la mésentente,
Faits déformés, mensongers,
Pour plaire aux imbéciles.

Utilisons des mots bien choisis,
Pour parler de quelqu'un,
Taisons-nous,
Quand nous ne savons pas,
Bien des torts seront évités,
Pour le plus grand bien de tous.


© Eric HIEL
04 11 2012

Les chemins de douleurs


Je ne marche plus sur ces chemins, j'y ai gravé tellement de mots, tant de messages, mes doigts sont devenus noirs de la souffrance qu'ils portent, mes larmes jetées dessus font germer la graine de ma douleur.

Parfois, lorsque tout me semble difficile, j'ai l'impression que mon corps n'est plus, que je suis cette forme opaque qui vole au dessus de tout mais sous les lumières, recouvert de la terre brune de l'indifférence.

Des chemins comme des veines vides de sang, creuses du manque d'amour...


© Eric HIEL
24 04 2013

Avant que l'aube...



De tes mains,
De tes doigts sur moi,
Parle-moi,
Oublions le temps qui passe,
Éblouissons-nous de nos jours encore,
Ta peau sur la mienne,
Avant que l'aurore nous rattrape,
Faisons palpiter nos matins,
Avant que tu ne disparaisses,
Gorges toi de moi,
Juste avant de partir,
Vivons ces instants,
Emplis-moi de souvenirs,
Pour rapidement me revenir...

© Eric HIEL
24 04 2013

mardi 23 avril 2013

Corps à corps


















Dans le labyrinthe de nos émotions,
Enivrons-nous de nos appels à frémir,
Courons sur ce besoin impérieux de nos souffles,
Vers la candeur intense et aérienne de nos futurs ébats,
Épousant nos murmures en un langage lascif,
Ressourçant nos corps à l'ombre de nos regards,
Nous abandonnant à de douces caresses,
Nous construisant des souvenirs inédits...

© Eric Hiel
23 04 2013

Besoin de toi, besoin de nous


C'est un fait,
De toi à moi,
Pas de tiret,
Des émois,
Un trait d'union,
Pas illusion,
Un devenir,
En nos tréfonds,
Dans l'avenir,
Une fusion,
Secrets intimes,
A Profusions,
Une part infime,
De ma folie,
Par ton regard,
Revient à la vie,
Un nouveau départ,
Être près de toi,
Je voudrais cela,
Ce besoin de toi,
Me suis pas à pas,
Ai-je envie de toi ?
Pour sûr, n'en doute pas...

© Eric HIEL
23 04 2013


Des maux... Des mots...


 
A l'encre de tes maux,
A l'encre de mes mots,
Reçois ces quelques phrases,
Sortie de mon coeur,
Toi qui est le bonheur,
Que j'aimerais vivre,
Qui me dictes sans emphase,
Tout ce que voudrais,
M'entendre te dire,
Et par milliers des bonheurs,
Pour toi les plus beaux,
Qu'à jamais, et pour l'éternité,
Tu resterais mon aimée,
Et pour tant que vive,
Remettre de mon âme blessée,
Les compteurs à zéro...

© Eric HIEL
22 04 2013

Rêveries...




C'est lorsque je suis,
Les yeux fermés,
Isolé de ce monde,
Sans plus aucune crainte,
Sans plus aucune peur,
Que je peux sentir,
Ton odeur parfumée,
Et revoir ton visage,
Que je connais par coeur,
Alors plus rien n'a d'importance,
Je me laisse aller,
Au son de la musique,
Je suis entraîné dans ta danse,
Avec un air mélancolique,
Je perds toute réalité,
Je m'efface, j'oublie,
Je n'existe plus,
Je ne lutte même pas,
Je me laisse emporter,
Et quand je m'aperçois,
Que je suis perdu,
Tu disparais,
Me laissant seul, abattu,
Et je sens sur ma joue,
Une larme couler...

© Eric HIEL
21 04 2013

De toi




J'aime ta douceur, ta tendresse,
Comme une retombée de caresses,
Caresses comme un soleil,
Tendresse sur mon sommeil,
Sommeil en un soupir,
Soleil sur ton sourire,
Sourire dans tes yeux,
Soupir d'un instant heureux,
Heureux sont nos jours,
Tes yeux sont pleins d'amour...

© Eric HIEL
20 04 2013

samedi 20 avril 2013

Gribouillage


Je m'étais promis,
De ne jamais plus,
Laisser parler mon coeur,
De le laisser se reposer,
Ne plus rêver,
Ni de tendresse,
Ni de douceur.

Dans mes griffonnages,
Il murmurait,
Des mots d'amour,
A faire rêver,
Des pensées rimant,
Avec je "t'aime",
Lassé d'avoir trop été froissé.

J'écoutais ma raison,
M'obligeant une sagesse,
Plus qu'incertaine,
N'écoutant plus les paroles,
Des chansons leurrées,
De complaintes langoureuses.

Jusqu'à ce jour,
Débarquée de nulle part...
Mon stylo de nouveau,
A envie de parler,
Tais-toi lui dis-je,
C'est juste un hasard,
Mais au verbe "aimer",
Il veut espérer.

Et les phrases se déplient,
J'enlève les mots,
Qui en diraient trop,
Ajoutant des pointes de romance,
Pour attiser un peu le désir,
Pour réveiller mes sens,
Et me laisser séduire,
A nouveau...

© Eric HIEL
19 04 2013

mercredi 17 avril 2013

A toi mon étoile



Tu scintilles comme les astres dans le ciel, toi qui as su guérir mon cœur meurtri.

Tu m'as écris des mots, tu les as déposé sur les miens, en douceur, comme une douce musique brisant le silence qui avait envahit ma vie.

Tu m'as regardé comme personne ne m'avait jamais regardé.

Tu es comme un ange venu d'ailleurs, comme un rayon de soleil illuminant le néant qui avait empli mon âme.

J'ai le cœur gonflé de tout cet amour que tu me donnes, moi qui était comme un funambule sur une corde raide marchant face à un rêve que je croyais impossible.

Moi qui avais tout perdu, qui n'avait plus rien, sauf un surplus d'amour à partager.

A côté de toi, je me sens bien. Loin de toi, j'ai froid.

Mon âme doit te rejoindre, pour ne pas tomber dans le vide, pour ne pas sombrer dans l'oubli.


© Eric HIEL
17 04 2013

La solitude...


En définitive, que redoutons nous le plus?

La solitude, purement et simplement.

Marcher seul dans la rue au milieu des badauds, rentrer chez soi dans son appartement vide et entendre les éclats de voix qui se mélangent chez les voisins.

La télévision devient notre compagne de route, on ne l'éteint plus pour tenter de combler ce silence quotidien.

Mais de quoi a-t-on besoin en réalité quand on rentre le soir?

C'est d'un peu de chaleur humaine, d'une oreille attentive, des bras dans lesquels s'endormir, de tendresse, d'amour. Ou encore, voir un visage souriant dès que l'on franchit le seuil de la porte, rien que pour savoir que notre présence est importante, ne serait-ce qu'à une seule personne...


© Eric HIEL
07 11 2012

vendredi 12 avril 2013

"Sans toi" mon amour perdu...




Sans toi le jour se fait nuit,
Sans toi le soleil devient lune,
Sans toi mes rêves sont cauchemars,
Sans toi la lumière devient brume,
Sans toi ma vie n'a plus de raison,
Sans toi mon corps n'est plus que douleur,
Sans toi mon coeur pleure des larmes de sang,
Sans toi mon âme s'envole dans un grand fracas,
Sans toi...
Je ne serai plus jamais moi.

© Eric HIEL
31 10 2012

jeudi 11 avril 2013

Je sais très bien que tu n'est pas une Déesse...


Il lui dit:
Je sais très bien que tu n'es pas une déesse,
Que tu as des défauts,
Comme tout un chacun en fait,
Tu n'es pas différente,
A part que, si, pour moi tu es différente
Tu m'as redonné la confiance en moi,
La confiance en l'amour,
Oui, tu es ce qui m'est arrivé de meilleurs,
J'en suis convaincu,
Au plus profond de moi-même,
Elle lui répond:
Je sais de quoi je suis capable,
Je peux faire tant de mal,
Et j'ai cette crainte, je sais que j'en suis capable,
Il lui répond:
Je sais de quoi tu es capable,
Tu peux faire mal,
Bien sûr, tout le monde,
Est capable de faire mal,
Moi aussi, nous avons tous,
Une part d'ange et une part de démon,
Elle lui dit:
Je suis tellement pleine de contradictions,
Il lui répond:
Nous sommes tous remplis de contradictions,
C'est normal, ça prouve que tu es humaine,
Que tu as un cœur,
Et il ajoute:
Mais aie confiance en toi,
Fais confiance à la vie
Fais confiance à ton cœur,
Tu me disais, tu es toute ma vie,
Tu es mon souffle, l'autre moitié de moi,
Mon alter-égo,
Tu me disais, jamais je ne te ferai souffrir,
Je vais te rendre heureux, faire ton bonheur,
Et nous serons heureux ensemble,
Jusqu'à la fin de nos jours,
Alors dis-moi pourquoi vouloir me faire mal?

© Eric HIEL
28 10 2012

" Quand surgit le néant" ...



Ce que je ressens est indéfinissable,
Un état de manque qui me poursuit de jour comme de nuit,
Un mélange de solitude, de lassitude, de tristesse,
Un sentiment de néant insupportable,
Celui-là même qui me bouffe,
Au plus profond de mon âme.

C'est comme si je me détachais de moi,
De ce que je suis réellement,
Comme si quelqu'un d'autre avait pris ma place,
Et se promenait dans le dédale de ma vie.

J'ai envie d'être loin, très loin...
Il faut que je parte,
Il faut que je la rejoigne,
Mais le moment n'est pas encore venu,
Me dit-elle…

Je rêve d'un autre horizon,
Mais l'horizon est bouché,
Pour le moment…

Mon esprit est fatigué,
Mon corps aussi,
Non...
Rien ne va plus en moi.

© Eric HIEL
27 10 2012

mercredi 10 avril 2013

Voyage et imagination




L'imagination est une invitation au voyage, c'est le fait de pouvoir sortir de la vie réelle, de voyager dans son esprit pour créer son propre monde comme on le souhaite et quand on le souhaite. C'est comme assister à un film, en silence.

Il est important à mon sens de pouvoir sortir du quotidien en rêvant à d'autres ailleurs, à une autre vie car cela peut combler la solitude, l'attente ou encore l'ennui.


J'aime fermer les yeux, oublier ce qu'il se passe autour de moi et imaginer les petites ou grandes choses possibles dans l'avenir.

Je pense par exemple aux projets communs que nous pourrions avoir avec la future élue de mon cœur, s'il y en a une un jour...

J'aime me projeter dans le temps et penser à comment serait notre nouvelle vie. J'anticipe peut-être, et si la vraie vie devenait le reflet de tous cela, qu'enfin le bonheur frappe à ma porte!

Mais quand on voyage, ce qu'il y a de plus long, c'est l'arrivée au but…

© Eric HIEL
2012

A toi mon soleil




Quand je te prends dans mes bras,
Et que tu m'embrasses,
Le temps s'arrête là,
Ma montre se casse,
Je tremble de tout mon corps,
Et mon cœur bat fort, de plus en plus fort,
Les mauvais jours sont loin,
Et la joie les remplace,
Dans mon cœur tu prends toute la place,
Dans les champs les fleurs éclosent,
Et le printemps refait surface,
Tout en douceur,
Il est revenu,
Dans mon âme et dans mon cœur.

© Eric HIEL
22 06 2012

Réveil


Un regard, un sourire, 
Une étreinte avant de me lever,
Je n'ai de cesse de t'admirer,
Je n'aurai de cesse de t'aimer,
De le crier au monde entier,
De te le dire à tout moment,
D'y penser à chaque instant,
Aimer, c'est te le murmurer,
T'aimer, à la folie,
Une folie douce,
T'aimer, comme jamais,
C'est par toi que je renais,
Tu es ma chance, mon miracle,
Mon ange, ma dulcinée,
Tu es ma destinée,
Je suis à toi,
Sans toi je ne suis rien,
Mon amour, mon trésor,
Je t'aime pour l'éternité.

© Eric HIEL
31 05 2012

lundi 8 avril 2013

Aimer



Aimer c'est faire confiance, c'est avancer avec quelqu'un.


Aimer c'est parler d'avenir avec des étoiles dans les yeux, c'est avoir envie d'y croire.

Aimer c'est trouver son rire bien plus mélodieux qu'une symphonie.

Aimer c'est voir une personne différemment.


C'est la trouver belle au réveil, la trouver belle tous les jours et en n'importe quelles circonstances.


Aimer c'est partager, c'est penser à l'autre avant soi.

Aimer c'est voir le monde autrement, avec un regard plein d'espoir.

Aimer C'est trouver la vie magnifique, si et seulement si l'être aimé nous accompagne.

Aimer c'est oublier toutes notions de solitude, car aimer c'est porter quelqu'un dans son cœur à chaque instant...


© Eric HIEL
17 02 2012

Dis-moi, parle-moi


Ai-je trop parlé de mes blessures, mes espérances,
Ai-je trop livré mes sentiments, mes pensées,
Ai-je trop dit mes peurs, mes déchéances,
Qu’à mes mots, à mes larmes, tu t’es fermée.

Dis-moi ta fatigue, ta colère ou ton indifférence,
Si j’écris trop, si je demande trop, si je suis trop là,
Ce sera toujours moins douloureux que le silence,
Si je te blesse, si je t’aime mal, dis le moi.

Peut-être qu’en toi tu as les réponses, tu les connais,
Alors donne les-moi, je voudrais savoir,
Peut-être que tu sais où l’on va désormais,
Alors montre-moi, si je ne vais nulle part.

J’ai accepté de t'appartenir, je suis à toi,
Je t’offre ma vie, tous mes instants pour toujours,
On baptisera notre histoire comme que tu voudras,
Je te donne mes pensées, mes rêves et tout mon amour.

Les non dits, tes silences,
Me blessent si durement,
Ton apparente indifférence,
Me détruit lentement.

Je ne veux rien de toi que tu ne possèdes pas,
Mais ta froideur à peine cachée me glace,
Je n’ai pas d’exigence, je n'ai pas choisi d'être là,
Mais je sais où est ma place, elle est auprès de toi.

Je voudrais simplement un peu de tes mots,
Qu’ils me disent ce qu’il y a au fond de toi,
Les réponses qui ne sont pas sur ta peau,
Qu’ils me disent tout ce que je ne sais pas.

Je voudrais tant d'autres jours et d’autres nuits à t’aimer,
Me reproches-tu trop de mots, trop de sentiments,
Je voudrais seulement que tu viennes me rassurer,
Afin de ne plus être inquiet comme souvent pour l'instant.

Je veux simplement exister pour toi,
Être l’homme amoureux que tu attends,
Pour le reste de nos jours être celui là,
Puisqu’on a encore devant nous suffisamment de temps...


© Eric HIEL
02 11 2012

La promesse


Mon amour,

Quoi qu'il arrive, je te porterai toujours dans mon cœur. Tu y es et y restera pour toujours. Parce que c'est comme ça, parce que je suis incapable du contraire.
Tu m'as apporté en quelques mois ce que d'autres n'ont jamais su me donner. Tu m'as redonné l'espoir que l'amour existe encore en un seul sourire, en quelques mots. Tu sais avant toi, je n'osais plus y croire, mon cœur était brisé. Tu sais, avant je ne connaissais pas cette sensation de petits papillons dans le creux de mon ventre. C'est grâce à toi que j'ai découvert tout ça. Le sourire sur mes lèvres à l'idée de t'apercevoir, mon cœur qui s'emballait lorsque tu m'embrassais avec cette tendresse que tu mettais si bien entre toi et moi…
Depuis, j'écoute en boucle nos chansons, je regarde tes photos chaque jour et je pleure parce que je sais que c'est fini et que tu ne reviendras jamais. Et ça fait mal, si tu savais comme ça fait mal… Le jour où tu es partie, j'aurais du te retenir, te dire que tu es la seule que j'aimerais toute ma vie. T'embrasser et te demander de ne jamais me quitter. Te prouver à quel point mes sentiments étaient fort et crier au monde entier à quel point je pouvais t'aimer. Mais au lieu de ça, je t'ai laissé partir sans rien dire…
Plus tu t'éloignais et plus un trou se formait dans ma poitrine, les larmes coulaient. J'avais l'impression qu'on m'arrachait le cœur! Mais je ne faisais rien, je te regardais partir.
Depuis, rien ne s'efface… Pas même le temps! Et chaque jour, je regrette d'avoir laissé notre amour s'enfuir. Tu vois, pendant les 20 minutes que je viens de passer à écrire cette lettre, je n'ai pas cessé de t'aimer, je te le promets!


© Eric HIEL
18 10 2012

Comme j'aimerais...


J'aimerais me réveiller tous les matins,
Avec le murmure de ton souffle dans mon cou,
A la chaleur de tes lèvres sur ma joue,
Au toucher de tes mains sur ma peau,
Et sentir ton cœur qui bat contre le mien,
Car j'ai pris conscience,
Que je ne trouverais jamais cette émotion,
Avec quelqu'un d'autre que toi.


© Eric HIEL
17 10 2012