Sur
ce cahier de brouillon,
Peut-être
voué, à l'usure du temps
Elle
étale des poèmes,
Signes
des mots,
D'un
monde où coulerait,
Des
torrents d'eau, de lait et de miel,
Forme
provisoire d'un autre poème,
Qu'elle
écrit en secret,
Celui
qui reste caché derrière l'horizon,
Bruissement
sourd d'une voix lancinante,
Déchirure,
manque entaillant le silence,
De
ne suivre le sillage de ce coeur qui attend,
Ce
coeur qui écoute et qui voit,
Qui
entend ce chant lyrique,
Et
que seul l'éblouissement,
D'une
étreinte pourra consoler,
Ces
vers, ces mots,
Tirés
du possible,
D'un
chant à deux voix,
Qui
fait,
Qu'elle
est belle sa plume...
©
Eric HIEL
15
07 2013
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Publier un commentaire