Il bat pour toi,
Ce
coeur, ce voyageur,
Dont
les blessures,
Les
plus dures,
Accueillent
la voie,
De
la guérison,
Qui
depuis toi,
Se
cicatrisent.
Enfin,
il est l'heure,
Pour
lui, à ses pieds,
De
déposer ses valises,
Enfin,
l'amour,
Comme
il l'a rêvé,
Celui
qui libère,
Celui
qui désaltère,
Après
une longue,
Traversée
du désert.
Un
amour comme,
Il
l'avait dessiné,
Dans
ces rêves,
Les
plus fous,
À
l'horizon,
D'une
autre décennie,
Failli
perdre sa trace,
Et,
l'a retrouvé, finalement,
Avant
que la gomme,
Du
temps, à tout jamais,
Ne
l'efface...
©
Eric HIEL
03
07 2013
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