Un
seul mot a suffit,
Pour
écarter la désespérance,
Naissante
en son coeur,
De
ce jour qui n'en finissait pas,
Abruti
de ce même refrain tournant,
En
boucle dans sa tête.
Le
soir venu,
Chassant
enfin,
La
cohorte de bruits des autres,
Se
perdant dans la nuit,
Observant
ces milliers d'étoiles,
Crépitantes
dans le ciel,
À
presque en toucher ses yeux,
Il
songe enfin apaisé,
À
tous ces rêves,
Qui
en s'endormant,
Vont
doucement le bercer,
Et
peut-être entendre,
Sa
voix douce et espiègle,
Qu'il
y a bien longtemps,
Qu'il
n'a plus entendue,
Lui
dire,
Où
que l'on soit perdu,
Il
y a toujours un phare,
Pour
nous guider dans la nuit...
©
Eric HIEL
26
07 2013
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