Ta peau douceur,
Mes
mains chaleur,
Cette
soif de te toucher,
Malheureux,
de ton absence,
Absence
tyrannique et cruelle,
Qui
oh combien me rappelle,
Que
mon coeur esclave du manque,
De
ce manque de toi,
De
ne pouvoir t'offrir mes bras,
Souffrances
de ne trouver remèdes,
À
mes soirées, à mes nuits solitaires,
Et
de toi,
Ne
pouvoir sentir ta peau contre la mienne,
Sa
douceur, son parfum,
Dont
mon âme,
Pour
être apaisée à besoin,
De
la peau douce de tes mains,
Aujourd'hui,
demain,
Un
soir, un matin,
En
trouverai-je le chemin... ?
©
Eric HIEL
07
08 2013
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